365 JOURS
Il y aurat 365 jours dans un peu plus de 4H que tu as du prendre ton pied PAUVRE CONNARD
Ce jour la tu ma brisée, tu ma VIOLEE mentalement, tu as brisée ma vie , tu as brisé mon avenir
Tu as du etre content d'avoir quelques jours de GLOIRE dans les médias, dans les rues, dans les commerces, dans les converssations
MOI a ce jour je ne me suis toujours pas relevée, car j'ai perdue mon commerce, j'ai des emmerdes jusqu'en haut du coup avec les emprunts de ma boutique, la banque qui ne veut rien savoir et qui m'assasine un peu plus tous les jours.
A ce jour j'ai toujours PEUR , un bruit inconnu, une personne qui me suis d'un peu trop pret ou qui me regarde, le telephonne qui sonne, quand on frappe a la porte, et quand je vais chercher mon courrier car je croise toujours les doigts pour qu'il n'y en est pas ou que ce soit que des bonnes nouvelles
Voila toi tu est LIBRE et moi je suis dans ma PRISON ou les barreaux ce resserent de jours en jours et ci j'arrive pas a trouvee le financement pour payer les dettes, je perd tout ce qui me reste MA FAMILLE, MA MAISON, MA VIE QUOI
Toi PAUVRE CONNARD je ne te remerci pas et ci je pouvais te criéer ma HAINE je le ferais et je te cracherais mes mots a la figure volontier
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HIER j'ai recue ceci en mail et c'est bien la que l'on decouvre la difference entre un humain et une personne
Suite à l’agression d’une sénatrice socialiste lors d’un retrait d’argent, sans qu’aucun témoin ne lève le petit doigt pour lui venir en aide, l’ancien maire communiste de Gréasque > (Bouches du Rhône) a publié sur Internet cette lettre ouverte qui ne manque pas de sel. Comme quoi, le bon sens et le franc-parler ne se nichent pas toujours où on pourrait le croire.
Bonjour, Madame la Sénatrice, Vous avez, le 14 juillet dernier, subi une agression que vous relatez dans Le Courrier Picard. À 14 heures, devant un distributeur, à Compiègne, un homme vous a volé, en pleine rue et devant témoins, l’argent que vous veniez de retirer. Vous l’avez vainement poursuivi, et vous avez déclaré en déplorant le fait que personne ne vous ait aidée : « Le premier problème de l‘insécurité, c’est la lâcheté collective. » Non, madame, Le premier problème de l’insécurité, c’est votre politique d’immigration massive légale et illégale depuis trente ans, et la libre passoire instaurée, avec votre aval, par les accords de Schengen.
Le deuxième, c’est le laxisme politique et judiciaire de votre parti fusionné UMPS envers les voyous.
Le troisième, c’est votre ministre de l’Intérieur qui gesticule et ânonne autant qu’il est inefficace (il ne faut pas froisser votre nouvel électorat d’origine maghrébine et de confession musulmane).
Le quatrième, c’est votre ministre supposée de la Justice dont le laxisme n’a d’égal que l’ignorance historique.
Le cinquième, c’est que dans cette propension à protéger les voyous, si je m’attaque à l’un d’eux pour défendre une victime et que par malchance, je lui occasionne de graves blessures, « votre justice » me conduira en garde à vue et en prison où l’on me dénichera, à moi, simple citoyen, une place que l’on ne trouve pas aux vrais voyous.
Chère madame Rossignol, vous venez donc de goûter, à l’instar de millions de Français agressés (et souvent avec des conséquences bien plus graves que celles que vous avez subies), aux joies du vivre ensemble